Ces mers de nuages – ou mers de de brouillard selon le cas – souvent présentes et toujours changeantes. Tantôt denses, tantôt plus légères, elles sont chaque fois différentes. en voici quelques unes vues des environs du refuge de l’Edelweiss, au dessus de la vallée de Saint-Amarin.
- Quelque part, Geishouse…
- Petit à petit, le brouillard s’insinue entre les sapins…
- Au delà de la mer de nuages, le Rossberg entre autres.
- La mer de nuage, phénomène habituel en automne, mais on ne s’en lasse pas…
- La plaine d’Alsace dans le brouillard et les Alpes suisses en arrière plan
- Quand le brouillard épouse les formes des vallées
- Journée de ski au Grand-Ballon un jour de nouvel an.
Les mers de nuages ou de brouillard se forment généralement dans les vallées ou au-dessus des mers dans une situation de masse d’air stable et humide à bas niveau tandis que l’air est sec en altitude. Lorsque la couche de bas niveau atteint la saturation, il y a formation de nuages ou de brouillard alors que les sommets restent dégagés. Depuis ces derniers, on ne distingue de la plaine qu’une vaste étendue recouverte d’un manteau nuageux. Ce phénomène se produit dans un anticyclone alors que l’air est en subsidence en altitude, et se réchauffe, mais qu’une couche près de la surface se refroidit par rayonnement (surtout la nuit en été) ou par advection d’air froid (stratocumulus maritime) (définition wikipédia).